Pour les peuples autochtones, chaque créature incarne un don précieux. Ils entretiennent un lien sacré avec la terre et les animaux qui les nourrissent. Dans cette tradition millénaire, le moindre geste traduit une profonde révérence : lorsque la nécessité impose de prélever une vie, chaque partie de l’animal est utilisée avec gratitude. Le crâne bovin devient alors un symbole vibrant - hommage poétique à l’être qui se donne, mémoire tangible d’un cycle ancestral où rien ne se perd, tout se transmute.